L’industrie de la fertilisation au rendez-vous des défis économiques et sociétaux
Limiter les impacts environnementaux, lutter contre le changement climatique, porter la souveraineté alimentaire de la France… la liste des défis économiques et sociétaux, que souhaite relever le secteur de la fertilisation, n’est pas exhaustive. Mais ces acteurs engagés sont prêts à se mobiliser pleinement pour in fine mieux nourrir les plantes et les hommes.
« La crise sanitaire a mis en lumière notre rôle indispensable dans la souveraineté alimentaire de la France. Et malgré les difficultés liées au Covid-19, et à la flambée actuelle des matières premières, qui ont mis sous tension l’ensemble de la filière, je peux dire sans hésitation que l’’industrie de la fertilisation a une nouvelle fois démontré sa résilience et a confirmé son engagement pour mener à bien les défis à venir ».
C’est avec ces mots que Florence NYS, Déléguée générale de l’Union des Industries de la Fertilisation (UNIFA) souhaite faire part de la volonté affichée par les producteurs d’engrais, amendements et biostimulants d’aller au-devant des défis économiques et sociétaux. Que ce soit en participant au recyclage des emballages vides de la filière, en s’engageant collectivement à agir sur la qualité de l’eau, de l’air et du sol, ou en luttant contre le changement climatique par une diminution des émissions de protoxyde d’azote, … l’industrie de la fertilisation est engagée au quotidien pour une alimentation plus sûre et saine des Français.
Afin de piloter ces changements – environnementaux, économiques, sociétaux – l’industrie de la fertilisation doit néanmoins faire face à une équation aux multiples inconnues : comment répondre à la demande sociétale d’une industrie plus verte et plus transparente tout en maintenant un niveau de compétitivité nécessaire à la pérennisation de cette industrie française dans un monde globalisé ?
Pour répondre au plus près à cet impératif, l’industrie de la fertilisation se tourne résolument vers l’avenir, en se mobilisant pour trouver des solutions pérennes telles qu’une feuille de route de la décarbonation pour l’ensemble de la filière. « Le succès d’une telle démarche ne pourra se faire qu’avec le soutien des filières agricoles et des pouvoirs publics », précise Florence NYS.