Une industrie impliquée dans les enjeux économiques et sociétaux actuels

Les plantes cultivées consomment des éléments nutritifs pour leur développement et leur croissance. A terme, la disponibilité de ces éléments nutritifs sert à garantir des récoltes suffisantes, aussi bien en quantité (rendement) qu’en qualité (valeur nutritive).

Préoccupation sociétale majeure, l’économie circulaire constitue une formidable opportunité pour une industrie soucieuse d’économiser la ressource naturelle.
Pour rappel, depuis les années 90, alors que la production agricole a augmenté de 30%, la consommation d’azote minéral a baissé de 20%.

Soutenue par un large système de labellisations (Appellations, IPG, labels d’origine…) et de contrôles sanitaires et qualité parmi les plus drastiques d’Europe.
La fertilisation contribue à cette sécurité alimentaire, dans le respect de la fertilité des sols et des revenus des agriculteurs.

L’UNIFA est membre de l’Institut National de l’Economie Circulaire (INEC) depuis janvier 2017.
A ce titre, elle a contribué à l’élaboration de la Feuille de Route Economie Circulaire (FREC), puis, en prévision de la sortie du projet de loi Economie Circulaire, l’UNIFA a participé à la rédaction du livre blanc « Systèmes agricoles et agroalimentaires circulaires ».

Eco-conception :
Les sites de production intègrent des équipements pour de limiter les déperditions d’énergie et de matière.

Recyclage :
Le secteur est engagé depuis plus de 10 ans dans le recyclage volontaire de ses emballages, via la société SOVEEA. Aujourd’hui, 85% des emballages sont collectés et le taux de recyclage s’élève à 93%.

Les cultures, quel que soit le type d’agriculture (conventionnelle, de conservation, bio, pour l’alimentation humaine ou animale…) nécessitent l’apport de fertilisants, qu’ils soient d’origine organique ou minérale. Les rendements agricoles sont aujourd’hui parmi les meilleurs d’Europe.