Nutrition des plantes et qualité de l’air : des produits et des pratiques adaptés
Avec des conséquences à la fois sur l’environnement et la santé, la qualité de l’air est un enjeu sociétal majeur, au cœur de l’actualité. A l’occasion de la 6ème édition de la Journée nationale de la qualité de l’air organisée par le Ministère de la Transition Ecologique, l’industrie de la nutrition des plantes, représentée par l’UNIFA, rappelle ses engagements pour l’amélioration de la qualité de l’air. En effet, elle propose des produits de fertilisation adaptés aux besoins des cultures et promeut les bonnes pratiques de fertilisation qui contribuent à la réduction des émissions d’ammoniac du secteur agricole.
Nourrir les plantes : une nécessité maîtrisée
Les plantes cultivées ont besoin d’éléments nutritifs pour leur développement et leur croissance. A terme, la disponibilité de ces éléments nutritifs sert à garantir des récoltes suffisantes, aussi bien en quantité (rendement) qu’en qualité (valeur nutritive).
Une fertilisation efficace, maîtrisée dans ses apports dose/efficacité et adaptée à chaque type d’agriculture, participe à la fois au dynamisme de l’agriculture, à la sécurité alimentaire et à la préservation de l’environnement.
Complémentarité des performances agronomiques et environnementales
L’UNIFA regroupe des industriels impliqués dans l’évolution de leurs métiers. Tous s’attachent à proposer des fertilisants élaborés au plus près des besoins des cultures. Ils sont facilement assimilables par le végétal qui bénéficie donc d’une nutrition optimale, limitant de fait les pertes dans l’environnement.
Réduction des émissions d’ammoniac dans le secteur agricole : les solutions existent
Le Plan National de Réduction des Emissions de Polluants Atmosphériques (PREPA) impose à la France des objectifs de réduction d’ammoniac.
Il existe aujourd’hui des solutions de fertilisation qui permettent de faire rimer performance environnementale et agronomique. Cela passe par l’application des bonnes pratiques agricoles (lien Guide ADEME) qui intègrent notamment le choix des formes d’engrais les moins émissives et l’innovation.